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EN SAVOIR PLUSParcoursup, la nouvelle plateforme d'admission post-bac et ses défis

Des candidats mieux orientés et plus responsables
Avant de pouvoir entrer leurs voeux, les lycéens de Terminale et les étudiants en réorientation doivent s'inscrire sur Parcoursup , et consulter les fiches détaillant chaque formation. Le but étant de leur offrir une meilleure orientation et un meilleur accompagnement pour qu'il y ait plus de 30 % de réussite à la fin de la première année universitaire, précise toujours Frédérique Vidal. Si avec l'APB, un candidat pouvait inscrire jusqu'à 24 voeux, désormais il ne pourra plus en inscrire que 10 . Et parmi ses 10 voeux, il ne sera plus obligé d'intégrer une formation à pastille verte ou libre d'accès. Toutefois, le candidat a la possibilité de formuler sa demande à bien plus de formations à travers les voeux multiples. Il peut ainsi postuler en même temps pour plusieurs cursus similaires (20 au maximum).
En outre, dans sa candidature, le candidat devra mettre en avant sa motivation pour chaque voeu. Il devra aussi soumettre une fiche « avenir » incluant ses notes de Première et de Terminale, les évaluations de ses compétences par les professeurs de lycée et l'avis du conseil de classe. Tout ceci va permettre aux universités d'évaluer les niveaux des postulants et de sélectionner les meilleurs dossiers.
Les résultats obtenus en cours de langue garderont une grande importance pour faire la différence.
La mise en place de Parcoursup : pas facile pour les universités
Lors de l'annonce de la reforme, Gilles Roussel, président de la Conférence des présidents d'université (CPU) a annoncé avec enthousiasme qu'ils étaient prêts à relever le défi. Pourtant, quelques mois plus tard, plusieurs Professeurs et présidents d'université annoncent que Parcoursup n'est pas encore prêt. Outre les « attendus » ou les prérequis pour les inscriptions, mentionnés dans la charte signée par toutes les universités, ces dernières sont libres de fournir des critères de sélection . En réalité, ce ne sera donc plus un logiciel qui va classer les candidatures, mais les facultés elles-mêmes. C'est pourquoi à la Sorbonne, comme dans d'autres établissements, les professeurs n'ont pas accepté d'indiquer les critères.
Et, ce n'est que le début pour les facs puisqu'à la fin des voeux des lycéens, elles auront la charge de gérer une multitude de candidatures. Dans les filières les plus sollicitées, les professeurs devront traiter dans les 20 000 dossiers pour 1 000 places . La méthode de classement étant opposable, elle devra être transparente. Si au temps d'APB, le sort décidait des résultats, aujourd'hui, avec Parcoursup, cette tâche revient donc aux équipes pédagogiques. Peuvent alors être pris en compte : les critères des universités, les notes du lycée, la motivation du postulant et les avis des conseils de classe. Certains professeurs hésitent et comptent sur « l'outil d'aide à la décision » de Parcoursup. Olivier Vial, président de l'Union nationale interuniversitaire (UNI), inquiet, s'exprime : « On va voir revenir le tirage au sort, mais au niveau des établissements, donc dans une plus grande discrétion. »





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